L’exilé nous emmène à Venise, où Elizabeth, de plus en plus gravement malade, repose, mais toujours souriante, fait vivre à ses invités des moments inoubliables au charme vénitien et lit des extraits de son livre: «Dire que ce livre, presque toujours brillant, où il a mis le plus vivant de ses grandes âmes, est sans doute aujourd’hui perdu, déchiré, brûlé; que les hommes ne le liront jamais! „