Dédié à ses compagnons du Redoutable, La Troisième Jeunesse de madame Prune est un merveilleux badinage de Pierre Loti sur le Japon. Mais c’est surtout un hymne étincelant au Japon, „ indécis et comme chimérique, moitié gris perle et moitié rose, plus étrange, plus lointain, plus japonais que les peintures des éventails ou des porcelaines. Un Japon d’avant le soleil levé.