Aziyade semi-autobiographique, basé sur le journal de Loti, persiste pendant trois mois. En automne et en hiver 1876, un officier de la marine française en Grèce et à Istanbul parle de l’amour illégal de Loti, 27 ans, à l’égard du harem circassien nommé. Dans ce roman, Loti décrit également son amour pour la culture turque, devenue un élément central de son personnage exotique.